Au bord des fleuves de Babylone[a]

137 Au bord des fleuves |de Babylone,
nous nous étions assis |et nous pleurions
en pensant à Sion.
Aux saules de cette contrée,
nous avions suspendu nos lyres.
Ceux qui nous avaient déportés |nous demandaient des chants,
nos oppresseurs |réclamaient d’être réjouis :
« Chantez-nous, disaient-ils,
quelque chant de Sion ! »

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Footnotes

  1. 137: Les fleuves de Babylone sont l’Euphrate et ses canaux, parmi lesquels le Kebar (Ez 1.1 ; 3.15), et peut-être l’Oulaï (Dn 8.2). Il faut leur ajouter, si l’on pense à la Babylonie entière, le Tigre, ses affluents et ses canaux.